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OSVALDE LEWAT

LES AQUATIQUES Livre écrit en français

Éditions Les Escales, 2021


21h00 : rencontre avec l'auteur Sami Tchak ***

21h20 : session de dédicaces

21h40 : lecture à l'oreille


Présenté par La Maison des Camerounais de France/ Centre Franco-Camerounais


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Suite à un empêchement, l’écrivaine Osvalde Lewat sera remplacé par Sami Tchak, l’écrivain, Le Grand prix littéraire d’Afrique noire pour son roman La fête des masques.

























© Osvalde Lewat



SUR L'OEUVRE :

Vingt ans après la mort de sa mère, Katmé Abbia, enseignante, apprend que la tombe doit être déplacée. Son mari, Tashun, préfet de la capitale, voit dans ce nouvel enterrement l’occasion providentielle de réparer les erreurs du passé et surtout de donner un coup d’accélérateur à sa carrière politique. Quand Samy, artiste tourmenté, ami et frère de toujours de Katmé, est arrêté et jeté en prison, les ambitions politiques de son mari entrent en collision avec sa vie et la placent devant un choix terrible.


SUR L'AUTRICE :

Osvalde Lewat est née à Gaoura au Cameroun. Elle a commencé à partager son univers créatif à travers des films documentaires et des photographies. Autrice d’œuvres plusieurs fois primées, elle publie en août 2021, Les Aquatiques, son premier roman.

Osvalde Lewat est diplômée de Sciences-Po Paris et a suivi des stages de formation à l’image à la Femis à Paris et à Institut National de l’Image et du Son (INIS) de Montréal. Ses photos ont été exposées en Afrique, en Europe et en Amérique. Ses films, diffusés par plus de soixante-dix chaînes de télévision dans le monde, ont voyagé sur les cinq continents et reçus plusieurs prix internationaux dont le Tanit d'or à Carthage, l'étalon de Bronze au Fespaco, l’étoile de la Scam, et le prestigieux Peabody award aux Etats-Unis. Elle a donné des cours de formation à l’écriture documentaire en Afrique et en Europe et des masters class dans des universités américaines. En marge de son activité artistique, Osvalde Lewat, qui a vécu dans différents pays dans le monde (France, Canada, Comores, Congo-Kinshasa, Burkina Faso…), est l’initiatrice de plusieurs projets socio-culturels en Afrique."


CITATION :


Je n'étais jamais retournée sur la tombe de Madeleine. N'y avais jamais apporté son repas préféré, de l'huile de palme, du sel ou une cruche de vin de raphia. Madeleine, pour autant que je m'en souvienne, préférait le vin rouge. Mais enfin, le vin de raphia, c'est ce que l'on déposait sur la tombe des morts dans le Haut-Fènn.







PLUS D'INFORMATIONS :

La Maison des Camerounais de France :










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